Severine

Dire que quand j'ai connu mon amoureuse, je lui ai dit qu'elle prenait bien la lumière, que j'adorerai travailler avec elle... De son coté, elle voyait un (pseudo)photographe lourdingue, et probablement voyeur, à la recherche de sa prochaine victime...

Voyeur je le suis, je veux voir ce qu'est le modèle, ou ce qu'elle peut être, sans aucun obstacle, ni artifice. Juste une expression. C'est ce que permet le nu.

Une indefectible complicité s'est peu à peu installée entre Severine et moi, nous permettant de travailler d'une manière unique, que nous nous sommes en quelques sorte réservée. Elle aura affonté bien des positions inconfortables, des accessoires blessants, de l'eau glacée, et j'en oublie, le tout pour satisfaire mon projet du moment, que moi seul visualisai, mais dans lequel elle avait toute confiance.

C'est drôle de constater comme Severine aura pu influencer chacun des mes travaux avec d'autres modèles...